samedi 21 mars 2015

Erreurs fréquentes (A1-A2)
 
Le matin, l'après-midi, le soir, la nuit
Le lundi, je vais en cours de français = tous les lundis
Lundi, je vais au cours de français : ce lundi en particulier
Pendant la semaine, ...

Beaucoup de, trop de, peu de, pas de, assez de...
Beaucoup d'activités, beaucoup d'hôtels, beaucoup d'écoles...
Je ne fais pas de sport, il n'y a pas de métro...
Tout le monde, tout le temps...
Toute la vie, toute la semaine, toute la journée, toute la matinée, toute la famille, toute l'année...
Tous les jours, tous les matins, tous les soirs, tous les vendredis...
Toutes les filles, toutes les villes...
Je vais au/en cours de français
Je vais au cinéma, nous allons au parc ; je vais au conservatoire...
Je vais à la piscine, je vais à la montagne, je vais à l'école de langues...
D'abord, ensuite/puis, après, finalement/enfin
J'adore, j'habite, j'étudie, j'aime, j'ai....
Il a 15 ans ; elle a deux soeurs
On a faim/soif/sommeil/peur...
J'habite à Motril ; je vais à Grenade
J'étudie à l'université
Je vis en Espagne, en France, en Israël...
Je vais au Portugal, au Kenya, au Japon...
Mon frère habite aux Etats-Unis
Je vis à Motril
J'étudie à Grenade
Je vais à Paris
Je fais du vélo
Je fais de la natation
Je fais de l'équitation
Je fais de la guitare
Je fais du piano
Je fais du shopping
Je joue au foot
Je joue au tennis
je joue au basket
Je joue du piano
Je joue de la guitare
Je joue de l'accordéon
Parce qu'il / parce qu'elle
L'école de langues, le cours de français, une salle de cinéma, les habitants de ma ville, les horaires des magasins, des lunettes de soleil...
On peut faire du foot, tu dois prendre un maillot de bain, tu dois aller au cinéma, je veux étudier à l'université...
Ma famille, ma ville, ma mère...
Mon village, mon père, mon emploi du temps...
Mes parents, mes loisirs...
Il fait très chaud, il fait très froid, il fait très beau, il fait soleil, il neige, il pleut, il y a des nuages...
Ce pull/ce restaurant/ce village ; cet hôtel/cet hôpital ; cette chemise/cette école ; ces chaussures/ces collants
Il est trois heures pile ; il est quatre heures dix ; il est quatre heures et quart ; il est quatre heures et demie
Il est midi vingt ; il est minuit moins le quart
Je vais parfois au cinéma ; je fais rarement mes exercices ; je mange souvent chez mes grands-parents ; je fais aussi de la natation.
Je vais ___ dîner avec mes amis ; Je vais ____ sortir avec ma copine ; Je vais ____ travailler
Je rentre chez moi
Au rez-de-chaussée ; Au premier étage ; Au deuxième étage.
Je travaille / Le travail
La maison c'est très lumineuse ; le climat c'est très agréable

mercredi 11 mars 2015

Journée Internationale de la Femme

Peuple du moment
Les Ogres de Barback



On a vécu sans histoires,
Nous, femmes peuple du moment,
Portons en nous, par hasard,
Le portrait d'un drôle de tourment.
Si votre dieu nous a fait sans âme,
Qu'il serait fort cruel mes ___________,
De brandir contre nous la lame,
De votre religion de perdants.

Ô femmes de tous pays,
C'est pour vous que cette ___________,
Humblement fut écrite
Par un homme, triste situation.
Honte sur moi la honte de leur route,
Tous ces mauvais bougres aigris,
Qui jamais, non jamais, ne doutent
Que Dieu puisse être une femme aussi !

Qu'ont-ils donc à se méprendre,
Qu'ont-ils donc à lire de travers,
Ces fous fanas prêts à se pendre
Pour la volonté d'une prière.
Il me semble très difficile
D'imaginer un seul instant,
Que tous ces milliers d'___________
Naissent de votre corps si charmant.



Petite fille d'Algérie,
Ô belle femme d'Arménie,
Je me veux de votre pays,
Je me veux de votre sexe aussi.
J'aimerais dans la rue tout comme vous
Descendre défier les plus _________,
Les musulmans, juifs ou chrétiens,
Intégristes du petit matin.

Messieurs, ____________________,
J'essaie d'être le plus sincère,
Mais savez-vous que, si ma foi
Un jour vécut, ce fut pour ma _________.
Moi jamais je ne suis certain,
Et je doute pour le moindre refrain,
Je ne prône aucun message,
Juste un conseil sans faux-héritage.

Qu'un jour vos maudites religions
Admettent sans fausses intentions,
Qu'il n'y a de plus beau pays
Que celui qui leur est ____________.

Qu'une femme vaut bien plus qu'un homme,
Qu'une femme vaut bien mieux que ça,
Que même leur chagrin monotone
Est plus noble que vos combats...
Qu'une femme vaut bien plus, en somme
Que les hommes qui se battent ici là,
Et que leur ______________ pour les hommes
Me fait aimer les femmes ici-bas.


jeudi 12 février 2015

Bonne Saint-Valentin!


Micro-Nouvelles!!!
Voici les textes qui ont été sélectionnés pour la publication du livre. Bravo à tous!


HÉRÉDITÉ
- Qu'est-ce que tu fais?
- Je mets une noix sur le gâteau de papa
- Tu es fou? Papa est allergique aux noix
- Je sais, répondit-il avec un sourire angélique...

Adrián Ruiz Martín, 3ºA

DERNIER MOUVEMENT
Dimitri était le meilleur joueur d´échecs du monde. Il était tellement obsédé par ce jeu, qu´il consacra son existence à l´étude de coups impossibles. Un soir, avant d´aller se coucher, il fit un dernier mouvement sur l´échiquier. Le lendemain matin, il s´aperçut que quelqu´un avait répondu à son coup. Intrigué par la maîtrise de son adversaire, il suivit le même rituel tous les soirs. Après dix nuits de partie endiablée, étant dans l´impossibilité de le mettre en échec, il laissa un verre de vin empoisonné sur la table. Le lendemain, Dimitri ne se réveilla pas. (Il était somnambule).
Cristina Lorenzo Rico, 3ºB
MICRO-NOUVELLE MACHIAVÉLIQUE

Jules, la jambe dans le plâtre, n´a pas pu faire ses emplettes depuis deux semaines. Ce qu´il déteste par dessus tout, ce sont les poivrons jaunes. Il a l'estomac dans les talons... Rien dans le frigo, il n´a trouvé qu´une boîte de poivrons jaunes en conserve dans le garde-manger. Il regarde fixement l´ouvre-boîtes en pensant : « Après tout, la faim justifie les moyens ».
Jules, la jambe dans le plâtre, n´a pas pu faire ses emplettes depuis deux semaines. Ce qu´il aime par dessus tout, ce sont les poivrons jaunes.
Cristina Lorenzo Rico, 3ºB

La Solitude
Après une rude journée, il rentra chez lui désireux de la voir. Il avait besoin de l’écouter, sa fidède compagne : elle le mit au courant des nouvelles et assouvit ses désirs. La solitude s’estompa et à minuit il sentit la fatigue s'emparer de lui. Il prit la télécommande et l’éteignit.
Mª Teresa Venegas Benavides, 3ºA

Tic - Tac
La frustration était la plus fidèle amie de cette seconde de l'horloge, fatiguée de la perte de temps.

Christian Linares Mingorance, 3ºA


La vie
Un arbre solitaire avait seulement une feuille. Dessous, il y avait un homme avec son chien qui attendait de voir la feuille tomber. 

José Ángel Ruiz Morales, 3ºA

Insignifiant
Je ne suis qu'une petite personne, dans un petit village, dans un petit pays qui est sur le plus 
petit continent, sur une petite planète d'une des étoiles les plus modestes d'une galaxie spirale 
simple, et c'est déjà trop grand!
Sergio Barranco Gijón, 3ºA

mercredi 21 janvier 2015

Rétrospective 2014: les événements qui ont marqué l'année en France